La rentrée inversée : et si septembre n’était pas un #départ, mais un retour à soi ?
Pas une relance à toute vitesse,
mais un retour à quelque chose d’essentiel.
Quelque chose que l’on aurait presque oublié :
le son de sa propre voix,
la justesse de son propre rythme,
la vérité de ses désirs profonds.
Pour beaucoup de personnes HPI, #multipotentielles ou intuitives,
la “rentrée” n’est pas un événement extérieur.
C’est un moment de lucidité via le centrage sur l'intérieur de soi.
Certaines #femmes, notamment, le sentent profondément.
Elles ne veulent plus “faire leur rentrée”.
Elles veulent rentrer dans leurs univers intérieurs, pour en ressortir autrement.
Plus libres. Plus entières.
Parce que la vie est trop courte, trop précieuse, trop belle.
Parce qu'elles ont envie de donner l'exemple.
parce qu'elles restent des hackeuses dans l'âme
...Et contrairement à tout ce qu'on leur dit,
elles sentent qu'elles pourraient moins travailler, mieux travailler, et à la juste place, en assumant d'exister, de vivre, de respirer.
Bon, on va aller un peu plus en profondeur...
Pour moi, c'est toujours le même plaisir de lire le début de l'Extase Matérielle du Clézio. Pourquoi ? Parce que cela parle des sensations qui pourraient être là avant la vie.
Cela vient contacter quelque chose qui est là en chacun de nous et que l'on retrouve dans divers voyages vers soi en développement personnel.
Et cela parle de cette chance absolue de vivre en tant qu'âme cette chose étrange que l'on appelle l'existence, l'incarnation.
Ce qui fait qu'on fait #carrière selon moi, en restant soi :
- ce n'est pas rester clivé, à l'extérieur de soi, en regardant sa vie passer en se faisant croire "qu'est-ce qu'on a déjà de la chance". Parce qu'alors le message que tout le monde entend, dont les clients, c'est "j'y vais et en même temps j'y vais pas" (reflet de ce que certains disent avec ressenti au niveau originel)
- mais en prenant conscience de cette urgence de vivre, en fuyant les arrières monde de Nietzsche que propose la société : la promesse qu'en Octobre ça ira mieux, que telle situation va se résorber, que toute la symbolique va dans le sens d'attendre un peu...
Se connecter à cette urgence de vivre, de faire quelque chose de grand, quand on sent au fond de soi qu'on en est capable, c'est cela qui va permettre de faire carrière.
Je ne parle pas de cette urgence de vivre "besoin de sensation immédiate",
ou de retomber dans un faux self en suivant la mode des personnes à mi carrière qui "décident de vivre un peu",
mais de cette urgence de vivre sincère, profonde,
cette prise de conscience essentielle de la notion de vie,
en coaching comme en collectifs en travaille la nuance entre les deux.
Bien à vous
Matthieu
Écrire commentaire